Jean Jacques PALAU |
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Jean Jacques nasce a Nizza il primo agosto del 1953. Suo padre lavorava per la BCI, oggi incorporata in BNP, ed i suoi contratti di consulenza lo portano a girare tutto il mondo, così che Jean Jacques conosce il Bridge in un Club Sportivo del Madagascar quando aveva 16 anni.
Ne rimane subito affascinato e quando torna a Cannes prosegue a giocare nel Club de Montfleury, quando interrompe i suoi studi per entrare anche lui nella BNP ha l'idea fissa di entrare in Nazionale.
Vi riesce e, dopo aver vinto alcune competizioni nazionali, rappresenta più volte la Francia sia alle Olimpiadi che nella Bermuda Bowl e riesce a catturare un argento internazionale divenendo vice campione del Mondo a Coppie Miste nel 2002 in coppia con Babeth Hugon.
Nel 2016 ha vinto l'argento alle Olimpiadi Senior a Squadre.
World International Master è amante del cinema e della musica ed ha un solo figlio: Guillaurne.
Jean Jacques was born in Nice in 1953, but his father works for the BCI, now incorporated in BNP, and its consulting contracts him to turn around the world, so that Jean Jacques knows the Bridge Sports Club of Madagascar when he was 16.
He is immediately intrigued and when he returns to Cannes continues to play in the Club de Montfleury when interrupted his studies to join him in the BNP also has a fixed idea of entering the National Assembly.
Do you find it and after winning several national competitions, is part of the National French and participated in the Olympics and the Bermuda Bowl. In 2002 became vice world champion in mixed pairs in tandem with Babeth Hugon.
In 2016 earn the silver medal in the Mixed Teams Olympiads.
Lover of cinema and music, he has only one son: Guillaurne.
Côte d’Ivoire, Madagascar, Tchad, Sénégal, Mauritanie, Martinique, la vie professionnelle de Jean Palau le conduit, avec sa femme et son fils Jean-Jacques, au gré de ses contrats à la BCNI, actuelle BNP, du continent africain aux Antilles. Le schéma est simple : deux ans de travail suivi de six mois de congés. Pour ne pas perturber ses études, Jean Jacques reste en métropole à Cannes, le port d’attache de la famille, puis il rejoint ses parents pour les vacances.
Petit tournois entre amis C’est dans un club omnisport de Madagascar, où il pratique le tennis et le squash, qu’il va découvrir le bridge, à l’âge de 16 ans. Après ses entraînements, le futur champion s’improvise kibbitz en attendant que son père termine sa partie libre. A la maison, Jean Jacques a déjà vécu l’ambiance des soirées de jeu : « en Afrique, l’activité sociale principale entre expatriés consiste à se retrouver après le bureau pour des dîners bridge ». Le jeune homme se montre intéressé, pose des questions, et ce qui devait arriver, arriva : le premier tournoi de la paire Jean et Jean Jacques Palau.
« Pas bon » se souvient le fils, mais ils gagneront le deuxième ! Le début d’un partenariat qui deviendra occasionnel au fil de leur vie, avec toujours le même plaisir, se retrouver, bien que le fait que l’élève ait dépassé le maître agace un peu ce dernier.
Retour à Cannes où il passe le bac. Membre du club de tennis de Montfleury, il sympathise avec un Italien. Ensemble, ils jouent à la belote, puis deviennent partenaires de bridge : Angelo Fusi l’entraîne au Gallia où sévissent déjà une certaine Hélène Zucarrelli et un débutant, Roger Hassan "Les Tchétchènes" le bridge prend de plus en plus d’importance.
Tour à tour, la fac de médecine puis celle de maths physique, prépa HEC : toutes les tentatives d’études supérieures seront interrompues.
La passion du bridge est plus forte, son talent évident. Il entre à la BNP, comme papa. Sa réputation dépasse très vite les frontières de la région, Palau de la Côte d’Azur deviendra, pour la France du bridge, le «Tchétchène», un surnom qu’il doit à ses qualités de combattant et à sa barbe légendaire et qu’il partagera avec son partenaire d’alors, le Marseillais Patrick Allegrini. Il représentera la France cinq fois, des Olympiades de Maastricht en 2000, à celles d’Istanbul en 2004, en passant par la Bermuda Bowl de Paris en 2001 et les championnats d’Europe de Tenerife en 2001 et de Malmö en 2004.
En 2016 il arrivé deuxième aux Olympiades Senior.
Quarante ans après les premières parties libres de Madagascar, Jean Jacques Palau est toujours animé par le même esprit de compétition qui l’a toujours caractérisé, « c’est un vrai gagneur », reconnaissent ses pairs.